Nous nous efforçons depuis quelques années de promouvoir les clauses bénéficiaires dites « à options »[1] permettant au bénéficiaire, le plus souvent le conjoint, de choisir de n’accepter qu’une part du capital payable par l’assureur au décès de l’assuré[2], la part non acceptée revenant aux bénéficiaires de substitution désignés par le stipulant lui-même.